Alors que les subventions étaient destinées seulement à une catégorie, elle se sont généralisées au fil des années.
A cet effet, une révision de la politique s’impose, et des discussions sont menées à ce propos depuis des années. Toutefois, aucune action concrète n’a été notée à ce jour. A ce titre, le ministre algérien des finances, Laaziz Faïd, vient donner des explications quant au retard observé. « Le Gouvernement, représenté par les services du ministère des Finances, travaille sur ce dossier complexe et sensible, étroitement lié à la numérisation du secteur, car nous ne saurons avancer dans cette optique sans la réalisation de la transition numérique« , a laissé entendre,le ministre.