Un conseiller de l’ancien président américain Donald Trump a récemment abordé les relations entre l’Algérie et le Maroc. Ses propos ont suffi à certains médias marocains pour anticiper un règlement rapide du dossier contesté du Sahara occidental, influencé par les États-Unis, mais cela suscite des préoccupations quant aux implications pour le peuple sahraoui.
Perceptions et réalités diplomatiques entre l’Algérie et le Maroc
Steve Witkoff, ancien conseiller de Trump sur le Moyen-Orient, a déclaré à CBS qu’un mystérieux « accord de paix » pourrait bientôt être conclu entre l’Algérie et le Maroc, bien qu’il n’y ait pas actuellement de conflit ouvert entre eux. Cependant, il est crucial de différencier la notion de rapprochement entre ces deux pays de la question épineuse du Sahara occidental, qui reste un sujet distinct traité par les Nations Unies depuis plusieurs décennies.
Perspectives russes et implications ONU
En réponse aux spéculations marocaines sur un potentiel ralliement de la Russie à leur cause, un ancien diplomate algérien réfute cette idée, soulignant que la Russie ne compromettrait pas ses positions géostratégiques. Par ailleurs, un échange récent entre le ministre algérien des Affaires étrangères et son homologue russe à propos des dossiers de l’ONU, dont celui du Sahara occidental, montre l’engagement continu des deux pays à s’occuper de cette question sur le plan international.
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