La pension de réversion offre au conjoint survivant la possibilité de recevoir une fraction de la retraite 2025 de base que touchait ou aurait dû toucher le défunt. En 2025, l’attribution de cette pension est régulée par diverses normes, incluant des limites de revenus à ne pas dépasser et des critères dépendant du régime de retraite 2025. Pour obtenir une pension de réversion du régime général, les revenus du conjoint survivant ne doivent pas excéder un certain plafond.
Ce plafond est établi à 24’710,40 euros annuellement pour une personne seule et à 39’536,64 euros pour un couple en 2025, des montants basés sur le Smic horaire réévalué à 11,88 euros en novembre 2024. Une augmentation est possible si le bénéficiaire a atteint l’âge de la retraite 2025 à taux plein ; le plafond pour cette augmentation est alors de 997,71 euros mensuels, soit 2993,14 euros par trimestre, selon Le Figaro. La pension de réversion est réservée exclusivement aux conjoints mariés, excluant les partenaires pacsés et les concubins, peu importe la durée de la relation commune.
Une demande doit être faite auprès du régime de retraite 2025
Une demande doit être faite auprès du régime de retraite 2025 approprié pour exercer ce droit. La pension représente 54 % de la retraite 2025 de base du défunt, avec un montant qui varie selon les droits qu’il avait accumulés. En 2025, elle se situe entre 331,94 euros et 1059,75 euros mensuels. Les revenus du conjoint survivant sont scrutés pour déterminer l’éligibilité, avec une prise en compte totale, partielle ou nulle de certains types de revenus. Par exemple, 70 % des revenus professionnels sont considérés dans le calcul. Les biens immobiliers autres que la résidence principale, ainsi que les économies et les placements financiers, sont évalués à 3 % de leur valeur.
Cependant, les allocations chômage, les aides familiales et au logement ne sont pas comptabilisées. Tout changement financier du bénéficiaire doit être déclaré à la caisse de retraite 2025, qui peut alors ajuster ou suspendre le paiement de la pension de réversion si nécessaire. Cette pension concerne principalement les salariés du secteur privé, les indépendants et les professions libérales.
Les pensions complémentaires, telles que celles de l’Agirc-Arrco, suivent leurs propres règles, souvent sans condition de ressources, mais avec d’autres critères comme l’âge minimum requis. Les fonctionnaires bénéficient quant à eux d’un régime distinct avec des modalités différentes.