Les perspectives économiques de l’Algérie sont parmi les plus alléchantes de toute la zone du Maghreb. Avec l’avènement de la crise russo-ukrainienne, l’Algérie est devenue un pôle de croissance économique à forte valeur ajoutée raison pour laquelle le groupe Renault souhaite se repositionner.
Les ressources en hydrocarbures sont fortement demandées et de nombreuses chancelleries occidentales se bousculent aux portes de la présidence algérienne pour convoiter le pétrole et le gaz DZ.
Une activité partielle au niveau de Renault Oran
Conscient de cette formidable opportunité qui se trouve entre leurs mains, les dirigeants algériens veulent faire une pierre deux coups et diversifier l’économie nationale. Des secteurs comme l’agriculture, les biens et services, l’innovation et surtout l’automobile sont les domaines qui sont ciblés pour créer de la richesse.
Le secteur de l’automobile est en pleine effervescence et plusieurs grands groupes mondiaux mènent des tractations pour pouvoir s’installer sur le sol algérien. C’est le cas du français Renault. La marque au triangle à une usine en Algérie dans la Wilaya d’Oran (Oued Tlelat) depuis quelques années (2014) maintenant.
Cependant, avec l’avènement de la pandémie du coronavirus, l’usine avait considérablement baissée son activité. Selon des sources concordantes, l’usine Renault de Oued Tlelat devrait reprendre une activité assez normale d’ici le 5 Octobre prochain. Une reprise partielle qui va donner du baume au cœur aux employés et à toute une région en attendant la reprise totale des activités.