À 21 ans, Rayan Cherki affole les compteurs et sème le doute sur son avenir international. France ou Algérie ? Ses dernières déclarations font l’effet d’une bombe. Les détails !
Rayan Cherki face à un choix de feu : France ou Algérie ?
« Chaque chose en son temps », lâche-t-il… Mais le temps presse.
À seulement 21 ans, Rayan Cherki n’en finit plus de faire parler de lui. Sur le terrain, il brille. En zone mixte, il électrise. Et désormais, c’est son avenir en sélection nationale qui enflamme les débats. Interrogé par beIN Sports après le choc contre Manchester United, le milieu offensif lyonnais a laissé entendre qu’il n’excluait pas un engagement avec l’équipe d’Algérie. Une déclaration lourde de sens, qui résonne comme un signal fort.
Un rapprochement avec l’Algérie ? Les signes se multiplient
Rien n’est confirmé, mais tout s’aligne. Une séquence récente avec le journaliste franco-algérien Smail Bouabdellah sur DAZN a mis le feu aux réseaux sociaux. Sourires complices, allusions fines… les internautes y voient une cour discrète mais déterminée. De l’autre côté, Didier Deschamps reste silencieux. Aucune convocation en vue.
Statistiques de feu : Rayan Cherki n’a jamais été aussi fort
Cherki réalise sa meilleure saison en pro : 10 buts. 18 passes décisives, 37 matchs.
Et une prestation XXL contre Manchester United, avec un but égalisateur dans les toutes dernières secondes. La presse s’emballe :
Le Progrès : « Cherki offre à l’OL le droit de rêver »
L’Équipe : « Toujours vivant »
Mais le plus frappant, c’est son attitude. Décomplexé, confiant, il a même taclé les Red Devils en les qualifiant de « craintifs ». Une audace rare à cet âge, qui fait de lui un leader naturel.
Une arrivée en Algérie ? Un tournant historique en vue
Vladimir Petkovic, le nouveau sélectionneur des Fennecs, pourrait bien décrocher le gros lot. Un joueur jeune, technique, créatif et décisif… Exactement ce dont l’Algérie a besoin pour reconstruire un cycle fort. S’il franchit le pas, Cherki deviendra instantanément l’une des pièces maîtresses des Verts. Mais ce choix serait aussi un symbole fort pour la diaspora : celui de refuser l’attente éternelle côté bleu pour embrasser fièrement les couleurs de ses origines.