Rayan Cherki, jeune talent de l’Olympique Lyonnais, est au cœur d’un dilemme. La France et l’Algérie rivalisent pour attirer ce prodige du football. Sans une récente déclaration, le père du joueur a choisit son camp. Découvrez les enjeux de cette décision.
Un choix déterminant pour Rayan Cherki
Le jeune prodige de l’Olympique Lyonnais, Rayan Cherki, est face à un choix crucial pour son avenir international. Né en France et doté de racines italiennes et algériennes, il est convoité par plusieurs sélections nationales. Actuellement engagé avec les espoirs de l’équipe de France, il suscite également un vif intérêt de la Fédération algérienne de football (FAF), qui multiplie les démarches pour le convaincre de rejoindre les Fennecs.
La pression familiale et les perspectives algériennes
Selon des déclarations relayées par le journaliste Amine Benchabir sur Elheddaf TV, le père de Cherki, issu de l’ethnie chaouie des Aurès, exprime un fort attachement à ses origines algériennes. Il souhaite ardemment que son fils revête le maillot algérien, malgré les autres options disponibles. Ce choix serait motivé non seulement par cet ancrage familial, mais aussi par les opportunités qu’offre la sélection algérienne dirigée par Vladimir Petkovic, qui attire de nombreux talents binationaux.
Les défis pour Cherki
Cependant, le chemin n’est pas sans embûches. À 21 ans, Cherki est sous pression, tant de son club, l’Olympique Lyonnais, que de la Fédération française de football. Considéré comme un grand espoir du football français, il est vu comme un futur candidat à l’équipe A des Bleus. De son côté, la FAF continue de négocier, mais des contraintes de calendrier empêcheraient Cherki de participer aux prochaines échéances des Fennecs en mars 2025, même en cas de décision favorable.