En Août dernier à l’issue d’un procès, les sieurs Raouf Farrah et Mustapha Bendjama, respectivement chercheur et journaliste, ont été accusés à deux ans de prison.
Au prime abord, il est important de préciser que les deux hommes ont été condamnés pour publication d’informations et de documents dont le contenu est classé partiellement ou intégralement secret, sur un réseau électronique ou d’autres moyens technologiques de médias. Aux dernières nouvelles, les choses semblent s’empirer pour les deux hommes. Car d’après le Comité national pour la libération des détenus, le procureur de la Cour d’appel de Constantine, dans l’est de l’Algérie, a requis jeudi l’aggravation des peines à l’encontre d’un chercheur et d’un journaliste incarcérés depuis près de huit mois.