Le journaliste Mustapha Mazouzi critique l’écart des talents locaux dans les clubs algériens et défend Rabah Madjer, freiné par des préjugés dans le football national.
« Rabah Madjer veut travailler dans le championnat d’Algérie… », Mustapha Mazouzi
Mustapha Mazouzi, figure reconnue dans le journalisme algérien, a récemment pris position sur la gestion du football national. Lors d’une interview, il a exprimé sa frustration face à l’exclusion des talents locaux des clubs algériens. Il a particulièrement évoqué Rabah Madjer, ancien international et entraîneur, qui souhaiterait contribuer au championnat national mais se heurte à des résistances.
Selon Mazouzi, « Madjer veut travailler dans le championnat d’Algérie, mais les gens l’ont complexé ». Bien qu’éminemment qualifié, Madjer semble victime de préjugés liés à sa renommée, ce qui limite ses opportunités.
Une critique sur les choix des présidents de clubs
Mazouzi a pointé du doigt les présidents de clubs qui, selon lui, manquent souvent d’expérience dans le milieu footballistique. Il regrette qu’ils préfèrent recruter des entraîneurs étrangers, notamment tunisiens, au détriment des compétences locales. « On a des compétences en Algérie, mais des présidents qui n’ont aucun lien avec le football ramènent des coachs de Tunisie », a-t-il affirmé.
Pour Mazouzi, cette tendance freine le développement du football national et prive les clubs d’entraîneurs connaissant en profondeur les particularités locales. Il appelle à une révision des stratégies pour valoriser les experts algériens et offrir au football national un nouvel élan. Les propos de Mustapha Mazouzi résonnent comme un appel à une meilleure reconnaissance des talents locaux dans le football algérien. Pour lui, le développement du championnat passe par une valorisation des compétences nationales et une gestion plus visionnaire des clubs.
L’arbre qui cache la forêt recruter un Algérien point de devises payé en monnaie nationale aucune transaction et comme ça les comptes peuvent être géré ce qui n’arrange guère les pseudo responsables et présidents