Les voyageurs algériens sont confrontés à des passeports mal classés, limitant considérablement leurs options de voyage et ouvrant potentiellement de nouveaux pays sans visa. Cela a été clairement indiqué par une annonce récente du ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian.
Le ministre iranien a annoncé que les liens entre l’Iran et l’Algérie se rapprochaient, ouvrant la voie au changement pour les voyageurs algériens. Selon l’agence turque Anadolu, qui partage des informations, un accord a été conclu entre les deux pays pour supprimer les visas politiques, après quoi les visas réguliers seront également supprimés à l’avenir.
Les relations irano-algériennes sont sur la bonne voie, a déclaré le Premier ministre Amir Amir-Abdollahian lors d’une conférence de presse conjointe à Téhéran avec le Premier ministre algérien Ahmed Ataf, soulignant « les bonnes consultations politiques au plus haut niveau des deux pays ». Il a également annoncé la création d’un comité de suivi conjoint composé du premier vice-président iranien, du Premier ministre algérien et des ministères des Affaires étrangères des deux pays pour accélérer le processus d’exemption de visa.
La nouvelle est une lueur d’espoir pour les Algériens, qui ont rencontré des difficultés croissantes pour obtenir des visas de voyage ces dernières années. Les passeports algériens se classent actuellement au 75e rang 2 du classement mondial des passeports, ce qui limite les options de voyage pour les titulaires. Les Algériens ne peuvent voyager que dans 18 pays sans visa préalable, et la lourdeur du processus a découragé de nombreux voyageurs.
Dans votre article consacré à la suppression des visas entre l’Algérie et l’Iran, vous vous êtes trompé sur la qualité de Mr Ahmed Attaf présenté comme Premier Ministre alors qu’il est Ministre des affaires étrangères et de la communauté algérienne à l’étranger.
Ce n’est pas la première fois que de telles erreurs sont commises. Il faut se montrer indulgent ou cesser de lire les articles de ce média. Les journalistes n’ont pas encore compris qu’il est impératif de prendre le travail au sérieux et surtout respecter le lecteur. C’est L’ABC du métier.