Une source bien informée a confié à que l’arbitre gambien Bakari Gassama, lors de son déplacement de la Gambie vers l’Algérie, pour gérer l’affrontement du tour qualificatif pour la finale de la Coupe du monde, entre l’équipe nationale et son homologue camerounais, a préféré s’arrêter au Maroc pendant deux heures, alors qu’est-ce qu’il faisait là-bas ?
Notre source a révélé le plan de voyage de l’arbitre Gambien Gassama en Algérie, qui a décollé de l’aéroport international de Banjul directement à Rabat puis vers la Tunisie avant d’arriver à l’aéroport international Houari Boumediene.
La Fédération Internationale de Football (FIFA) avait informé les arbitres concernés par la confrontation de l’Algérie et du Cameroun de la nécessité de se rassembler en Tunisie, dont Gassama et ses adjoints et les arbitres étrangers responsables de la salle « Al-Far », en plus des gouverneurs de la confrontation et l’observateur de la « FIFA« , avant d’entrer en Algérie, mais la question qui se pose actuellement, pourquoi les responsables du contrôle de ce voyage et de l’itinéraire de la confrontation ont-ils choisi de s’arrêter à Rabat, au lieu d’Istanbul, par exemple, mais sans s’y limiter, comme ce fut le cas pour le voyage de retour ? Ou était-ce exprès pour quelque chose d’autre ?
On sait que selon le témoignage de l’entraîneur bosniaque Vahid Halilhodzic, le président de la Ligue de football de l’Ouest, Faouzi Lekjaa, est récemment devenu obsédé par l’équipe nationale algérienne, exactement depuis que les « Guerriers du désert » ont été couronné à la Coupe d’Afrique 2019, et fait tout ce qu’il peut pour casser les « verts » dans les « scènes » au niveau des roues de la Confédération africaine de football (CAF), où cette affaire est devenue plus une préoccupation qu’un intérêt pour le football marocain et l’équipe nationale marocaine elle-même .
A noter que Lekjaa, en plus d’être le président de la Ligue marocaine, est le ministre délégué du ministère des Finances et de l’Economie en charge du budget depuis le 7 octobre 2021, au Maroc, et l’un des hommes de confiance de le système «makhzen», où malgré son gaspillage de l’argent public et ses dépenses colossales depuis sa présidence de la Fédération marocaine, au milieu des demandes de certains Marocains pour qu’il soit destitué parce qu’il est le «cancer» du football marocain, il bénéficie d’une protection spéciale de la part du régime marocain.