Conjointement avec neuf pays, l‘Algérie a déposé officiellement le dossier de candidature « Gravure sur métaux : arts, savoir-faire et pratiques » pour inscription sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité auprès de l’Unesco. Nous vous en disons plus sur ce sujet à travers cette édition de jeudi 7 avril 2022.
Le dépôt du dossier commun relatif essentiellement aux arts, au savoir-faire et aux pratiques de la gravure sur le cuivre, l’or et l’argent, se fait avec la coordination de la République d’Irak et avec la participation de la Tunisie , de l’Égypte, de la Mauritanie, de la Palestine, de l’Arabie saoudite, du Soudan et du Yémen.
Signalons que l’élaboration scientifique du dossier algérien a été confiée au Cnrpah pertinent du ministère de la Culture et des Arts qui a mis en exergue une série de savoir-faire et de procédés artistiques liés à la gravure sur l’or, l’argent et le cuivre, à travers les villes algériennes et leurs emplois sociaux, étant porteur d’une identité et d’une mémoire vive aux dimensions artistiques, artisanales et économiques. Selon l’experte qui supervise le dossier de l’Algérie, Benabdallah Zahia, la gravure et la fabrication des métaux sont qualifiées dans plusieurs villes et anciennes cités, citant pour exemple Tamanrasset et la Kabylie, connue pour l’artisanat d’argent et Batna pour l’artisanat d’or, tandis que plusieurs villes, comme Constantine, Blida, Alger et Tlemcen sont connues pour l’artisanat de cuivre. Pour Mme Benabdallah qui est également enseignante au Cnrpah, cette candidature, a pour but, de « préserver cet artisanat et les anciennes traditions qui symbolisent l’Algérie, sa culture, son identité et son histoire, étant un guide identitaire porteur de la mémoire, des us, des traditions et menacées de disparition» Alger et Tlemcen sont connues pour l’artisanat de cuivre.
A en croire Benabdallah qui est également enseignante au Cnrpah, cette candidature, a pour but, de « préserver cet artisanat et les anciennes traditions qui symbolisent l’Algérie, sa culture, son identité et son histoire, étant un guide identitaire porteur de la mémoire, des us, des traditions et menacées de disparition» Alger et Tlemcen sont connues pour l’artisanat de cuivre. Pour Mme Benabdallah qui est également enseignante au Cnrpah, cette candidature, a pour but, de « préserver cet artisanat et les anciennes traditions qui symbolisent l’Algérie, sa culture, son identité et son histoire, étant un guide identitaire porteur de la mémoire, des us, des traditions et menacées de disparition»