Islam Slimani revient sur les hauts et les bas de l’équipe nationale d’Algérie et les départs d’entraîneurs marquants, notamment celui de Djamel Belmadi. Une réflexion sur le parcours du football algérien.
Islam Slimani évoque un déclin après des années de gloire
Islam Slimani, pilier de l’équipe nationale algérienne, a partagé ses réflexions sur une période difficile pour les Fennecs. Évoquant l’élimination inattendue face à la Mauritanie, il compare cette défaite à celle contre le Cameroun, deux moments marquants dans l’histoire récente du football algérien. « Nous avons connu des années de succès, dont le titre de la CAN, mais les revers font aussi partie du sport », confie-t-il. À 36 ans, Slimani insiste sur l’importance de ne pas oublier les triomphes précédents, notamment la victoire historique en Égypte sous la direction de Djamel Belmadi.
Le départ de Belmadi : un tournant inévitable
Sur le départ de Djamel Belmadi, Slimani reste mesuré : « Que ce soit une démission ou un renvoi, les résultats dictent toujours le destin d’un entraîneur. Belmadi le savait mieux que quiconque. » Cependant, il appelle à se souvenir de l’impact positif du coach, soulignant son rôle clé dans le succès de la CAN. Pour Slimani, cette période incarne la nature cyclique du football, où les sommets et les descentes se succèdent. Malgré les défis, il reste attaché à l’idée que l’histoire de l’équipe algérienne continue de s’écrire.