Lors de la rencontre entre le président français Emmanuel Macron et les représentants du culte en France, le recteur de la Grande Mosquée de Paris a saisi l’occasion pour dénoncer la recrudescence des attaques contre les musulmans.
Comme annoncé plus haut, le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Chems-Eddine Hafiz s’est exprimé aux micros des médias pour dénoncer la recrudescence des attaques contre les musulmans et l’amalgame entre islamisme et islam, notamment depuis la dégradation de la situation au Proche-Orient depuis le 7 octobre. « J’ai asséné avec énormément de force que l’islam et les musulmans ne peuvent pas être antisémites. Et que l’antisémitisme ne passera pas par les mosquées de France » a laissé entendre ledit recteur.
Par ailleurs, il se fera le devoir d’expliquer les raisons qui l’ont conduit à s’abstenir de participer à la marche « contre l’antisémitisme » à laquelle ont appelé le président du Sénat et la présidente de l’Assemblée nationale, précisant qu’il n’a pas de « leçons à recevoir dans la lutte contre l’antisémitisme ».