La peine de prison de l’influenceuse algérienne Mouna Limam passe de 18 à 12 mois après sa défense en appel, où elle a justifié la possession de substances illicites pour des raisons médicales.
La peine de prison de Mouna Limam allégée après appel
Mouna Limam, une influenceuse algérienne de 23 ans, a vu sa peine de prison réduite en appel de 18 à 12 mois. Arrêtée en août à l’aéroport Houari Boumediene avec 32 comprimés de Tramadol, une quantité de cannabis et 890 000 DA en sa possession, elle avait initialement été condamnée pour détention de substances interdites. En appel, Mouna a plaidé que le Tramadol servait à soulager des douleurs dorsales, appuyée par une ordonnance médicale. Elle a aussi affirmé que le cannabis était destiné à un usage personnel.
Justifications médicales et décision de la Cour d’Alger
La Cour d’Alger a pris en considération les justifications médicales fournies par l’influenceuse, réduisant ainsi sa condamnation à 12 mois de prison ferme, bien que l’amende initialement prévue ait été maintenue. Le montant exact de celle-ci n’a pas été précisé. Outre Mouna Limam, deux autres personnes sont impliquées dans l’affaire, l’un étant un chauffeur de taxi clandestin et l’autre un présumé dealeur, ce qui complexifie davantage cette affaire de possession de stupéfiants.