L’influenceuse algérienne Mouna Limam a été condamnée à 18 mois de prison pour possession et trafic de substances psychotropes, soulignant les risques pour les personnalités publiques impliquées dans des activités illégales.
Le verdict est tombé pour Mouna Limam
Le tribunal de Dar El Beïda à Alger a condamné Mouna Limam à 18 mois de prison ferme le 13 août. L’influenceuse a été jugée pour possession de 32 comprimés hallucinogènes et 150 g de cannabis, qu’elle transportait à l’aéroport Houari Boumediene. En plus de Limam, ses complices B. Kamal et K. M. Yacine ont été condamnés à 10 ans de prison ferme, avec un mandat d’arrêt émis à leur encontre.
Cette affaire met en lumière la responsabilité des personnalités publiques, notamment celles qui exercent une influence significative sur les jeunes. Le verdict prononcé contre Mouna Limam envoie un message clair : indépendamment de leur statut social ou de leur présence en ligne, ceux qui se livrent à des activités illicites devront en assumer les conséquences légales.