Le dossier Marocgate continue à faire couler assez d’encre et de salive. Aux dernières nouvelles, de hautes autorités algériennes ont été victimes d’espionnage.
Dans le détail, le commanditaire de cet espionnage est décrit comme étant d’une discrétion manifeste. Certains l’auraient deviné, il est question de Mohamed Bellahrach.
A en croire les investigations menées par le journal de l’Hexagone, l’homme a un nom bien spécifique : M118. C’est ainsi qu’on l’appelle au sein de la Direction générale des études et de la documentation (DGED), le service marocain de renseignement extérieur et du contre-espionnage. Il a été le moteur du scandale survenu au sein du parlement européen. Ses opérations en effet, traversent les frontières européennes. D’après le JDD, il était établi en France depuis 2016, juste après les attentats qui ont eu lieu dans l’hexagone. C’est le journal français qui révèlera que les voyages de hauts dignitaires algériens et celui d’un agent sportif sont également signalés aux autorités marocaines.