Au fil des années, les investissements directs étrangers du Maroc en Afrique ont connu une croissance spectaculaire, passant d’environ 100 millions de dollars en 2014 à plus de 800 millions de dollars en 2021. Cette expansion a propulsé le Maroc au rang de deuxième plus grand investisseur d’Afrique, juste derrière l’Afrique du Sud, et en tête en Afrique de l’Ouest.
Selon le quotidien L’Opinion, qui cite le New York Times, les entreprises marocaines ont joué un rôle crucial dans cette tendance. Des institutions financières telles qu’Attijariwafa Bank, Banque Centrale Populaire et la Bank of Africa, basées à Casablanca, détiennent plus d’un cinquième des actifs bancaires en Afrique de l’Ouest. Le groupe OCP est également présent dans 16 pays africains, tandis que Maroc Telecom opère dans plusieurs pays d’Afrique subsaharienne.
Cependant, en ce qui concerne le commerce, les performances sont plus mitigées. Bien que les exportations marocaines vers l’Afrique subsaharienne aient augmenté, elles ne représentent que 6% du total en 2021, selon la Banque Mondiale. Les importations en provenance d’Afrique subsaharienne ne représentent que 1% du total des importations du pays, principalement en raison d’accords commerciaux avec d’autres régions. Malgré cela, l’accord de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine devrait progressivement favoriser l’équité du jeu, tout en aidant à réduire les barrières tarifaires avec d’autres pays africains, selon les experts.
Néanmoins, le Financial Times met en garde contre les défis économiques en Afrique, avec une croissance stagnante au Nigeria et en Afrique du Sud, ainsi qu’une augmentation des niveaux de dette dans de nombreux pays, ce qui pourrait entraîner une nouvelle crise de la dette sur le continent.
Enfin, la Banque Mondiale a publié une analyse préliminaire évaluant l’impact du récent séisme au Maroc. Bien que les premières conclusions suggèrent que l’économie nationale ne subira qu’un impact modéré, il est à prévoir une réduction de la croissance économique au cours des trois prochaines années, conjuguée à une augmentation de l’endettement.
Cette analyse se base sur une étude de la Banque Mondiale portant sur 282 catastrophes naturelles survenues entre 1960 et 2019 dans 86 pays en développement, où les dommages dépassaient 1 % du PIB. Les résultats montrent que la croissance du PIB dans les économies touchées était inférieure d’environ 1,3 point de pourcentage à celle des économies non touchées au cours de l’année de la catastrophe. Cependant, la croissance avait tendance à rebondir au cours des trois années suivant l’événement, avec une hausse progressive.
Voilà encore une nouvelle musique des sionistes pourqu’on les laisse faire ce qu’ils veulent et faire croire aux peuple soumis que depuis qu’ils se sont installés au Maroc ils lui ont offert le paradis venu du ciel, que le Maroc commence a payé ces dettes qui s’élèvent presque a 135 milliards de dollars, et avec 90olo de chômeurs en plus son agriculture est a zéro et venir nous faire croire que le Maroc est devenu un paradis, déjà il lui 15 milliards de dollars pour construire les maisons du dernier tremblement, non au Maroc les gens crèvent de faim, il y a des marocains qui voyagent et qui parlent de tout.