<h2><strong><b><a href="https://news.google.com/publications/CAAqJggKIiBDQklTRWdnTWFnNEtER0ZzWjJWeWFXVTNMbU52YlNnQVAB?oc=3&ceid=SN:fr">Algérie –</a></b></strong><strong>Nul doute que l'ancien président de l'assemblée populaire nationale, Amar Saâdani, se réfugie désormais au Maroc. En effet, de nouvelles révélations viennent d'être faites sur sa nouvelle vie qu'il mène.</strong></h2> Selon le magazine « Jeune Afrique », Amar Saâdani vit actuellement « sous haute protection des services de sécurité marocains ». Il préfère se mettre à l’écart des projecteurs refusant tout contact avec les médias, informe la même source. Poursuivant : « Depuis son arrivée dans le pays, il fuit les médias et refuse de s’exprimer publiquement sur sa situation personnelle et encore moins sur l’actualité politique en Algérie » Des sources marocaines citées par le même média ajoute que l’ancien président de l’APN, entre 2004 et 2007, « ne souhaite pas être médiatisé » de peur d’attirer l’attention sur lui. Il ne souhaite pas « envoyer des signaux qui pourraient être perçus comme une provocation par les Algériens ». <h2>Rétro sur « la fuite » de Amar Saâdani au Maroc</h2> Dès le début de l'année 2021, plusieurs informations ont fait état de l’installation de l’ancien secrétaire général du FLN Amar Saâdani au Maroc. Des sources médiatiques affirmaient alors que cette nouvelle destination avait été choisie de « peur d’être rattrapé par la justice ou de faire l’objet d’une demande d’extradition ». Avant de prendre la fuite au pays voisin, Saâdani était en France, plus exactement à Neuilly-sur-Seine à Paris où il possédait un appartement. Il s’est déplacé par la suite vers le Portugal, où il possédait également « un autre appartement de luxe ». Pour rappel, en 2018, il avait fait objet de deux convocations émanant du tribunal de Chéraga à Alger. Il s’agit d’affaires de détournement de foncier. Bien entendu, l’intéressé ne s’était pas présenté. C’est ainsi qu’Amar Saâdani, rapportait alors le quotidien Le Soir d’Algérie, a décidé de se réfugier au Maroc suite à des propositions qu’il avait reçues de personnes proches des autorités marocaines et « auxquelles il a toujours rendu d’énormes services.