Dans l’optique d’encourager l’immigration légale en Europe, la Commission européenne propose une série de mesures sur plusieurs volets. Sur le volet opérationnel, la commission projette de nouer, avant la fin de l’année, des partenariats avec des pays du Maghreb.
Cela étant pour « satisfaire les besoins de compétences des États membres et des pays partenaires », indique-t-on. En contrepartie, l’Union européenne « exigerait de ces pays des engagements dans la lutte contre la migration clandestine ».
Or, l’on constate que l’Algérie ne figure pas dans ces propositions. En effet, les pays cités dans le cadre de ces partenariats sont « le Maroc, la Tunisie et l’Égypte ».
Une deuxième phase devra également concerner d’autres pays, à savoir le Pakistan, le Bangladesh, le Sénégal et le Nigeria. Encore une fois, le nom de l’Algérie ne figure toujours pas, selon ce qu’a rapporté le site d’information belge 7sur7.