Le ministre de la justice, le garde des sceaux, le secrétaire de la République et l’ancien inspecteur général du ministère de la justice se sont présentés devant le chef du pôle pénal économique et financier, qui leur a donné le dernier mot conformément à la loi, lui demandant réparation, après 40 ans de cession à la justice, pour se retrouver dans son sanctuaire menacé de 10 et 8 ans de prison effective, alors que le dernier mot de l’homme d’affaires Koninav a secoué la salle des séances lorsqu’il a déclaré : « Je ne suis pas responsable de ce qui s’est passé et de ce qui se passe dans la justice », avant que le chef du pôle n’annonce la date des arrêts dans le dossier correspondant au 7 mars.
Après clôture des plaidoiries et conformément aux procédures légales, le chef du pôle pénal économique et financier a donné le dernier mot aux accusés dans le dossier d’entrave au bon cours de la justice, avant d’entrer dans le tribunal pour examiner et prononcer les verdicts. Monsieur le président, je veux tout d’abord vous remercier pour votre patience et pour la gestion de cette audience. Je suis fier de vous en tant que confrère de la magistrature et ancien ministre de la justice pour votre compétence et votre professionnalisme. Je suis aujourd’hui satisfait et j’ai une entière confiance en vous.
Louh a poursuivi : « J’attendais que le représentant du parquet apporte les charges 1, 2, 3, 4, 5 et pour chaque crime les charges retombent. Lorsque j’étais agent de la république, avec tout le courage et la paix de Je demande l’innocence et parfois l’application de la loi, quand je suis certain que les faits s’y trouvent. Une sorte d’exagération, mais en l’espèce, l’accusation ou le collègue, pour ainsi dire, m’ont demandé 10 ans, mais plus que cela, il a déduit le hadith du Prophète, et m’a décrit comme un voleur, quand il a dit: « Si Fatima bint Muhammad volait, je lui couperais la main », et je lui réponds avec le Saint Coran ‘an. Dans l’histoire de Pharaon et de Moïse après au nom de Dieu, « Ils ont dit: » Nous ne te favoriserons pas sur ce qui nous est venu de preuve claire et qui nous a créés, alors répare ce que tu es un juge, mais vous passez cette vie mondaine.
Louh a ajouté : « Monsieur le président, celui qui a initié le procès contre le ministre de la justice, il a ouvert la porte de l’enfer devant l’Algérie. Oui, je vis depuis longtemps dans les rouages de l’État, et l’Algérie a été et est toujours pris pour cible. Nous sommes maintenant plus de deux ans et demi en prison, après avoir atteint j’ai 71 ans.. La famille est sans abri. Ma fille unique est très malade. J’espère, j’espère, et j’espère que vous nous débarrasserez de cette injustice dans mes derniers jours après 41 ans de service. J’espère que vous me rendrez justice et que vous vous laisserez entre vous et votre Seigneur.