Le décembre 2024 approche, et le suspense s’intensifie autour des projets du président algérien Abdelmadjid Tebboune. À un an du scrutin, l’ombre persiste sur sa possible candidature à sa propre succession. Embarquez avec nous dans cet article captivant, explorez les arcanes du pouvoir, et décodez les indices qui pourraient révéler la décision du maître des horloges.
La spectaculaire élection de décembre 2019, marquée par le mouvement du Hirak et la chute d’Abdelaziz Bouteflika, semble désormais lointaine. En quatre ans, Tebboune a métamorphosé le paysage politique, neutralisant la contestation dans la rue et affichant une alliance apparente avec l’armée. La presse, autrefois mordante, a été remise dans « le droit chemin », l’opposition lutte pour se faire entendre, laissant les réseaux sociaux comme ultime rempart de la contestation.
Les spéculations autour des intentions de Tebboune persistent, alimentées par les premiers signaux d’un possible retrait anticipé, notamment accentué par sa bataille contre le Covid-19. Cependant, les vents semblent avoir changé, générant une incertitude palpable quant à son avenir politique.
À 78 ans, s’il décide de se représenter, le président deviendra le favori incontesté de l’élection. Le Hirak semble être éclipsé, et les réseaux sociaux demeurent le dernier rempart d’expression libre. La grande question persiste : Abdelmadjid Tebboune envisage-t-il réellement de rester en fonction jusqu’à décembre 2028 ? La réponse à cette interrogation pourrait redessiner le paysage politique de l’Algérie.
Accrochez-vous à cette plongée intrigante dans les événements à venir et explorez avec nous les mystères de la politique algérienne. Restez connectés pour ne rien manquer des développements à venir !
Merci M. Tebboune mais partez SVP tout de suite,la politique vous dépasse et vous êtes très vieux pensez a votre tombe, les mensonges et tous vos défauts ne sont qu’une surcharge dans vos bagages que vous emportez avec vous dans votre tombe, votre mémoire doit fatiguer s’il vous reste un peu de mémoire, laissez le pays a des jeunes pour le diriger car l’Algérie est un pays de jeunes.