Après avoir joué un mauvais coup à l’équipe d’Algérie, le Maroc semble à son tour payer le prix du karma. Le Raja Casablanca traverse une crise inédite, conséquence d’une décision qui, rétrospectivement, s’avère désastreuse.
L’attaquant algérien Yousri Bouzok, écarté de manière controversée par le club marocain, est désormais perçu comme un élément clé manquant, contribuant indirectement aux difficultés actuelles du Raja. Bien que le club ait commencé la saison sur une note positive, tout s’est effondré après le départ de Bouzok, entraînant une série de contre-performances, dont une élimination prématurée en Ligue des champions africaine.
Le Maroc semble à son tour payer le prix du karma
Lors du dernier match de la phase de groupes, le Raja a certes battu le club congolais Manimba 1-0 grâce à un penalty d’Adam Naffakh, mais cette victoire a été insuffisante pour se qualifier, les résultats des autres rencontres ne jouant pas en leur faveur. Ironiquement, l’absence d’un joueur comme Bouzok, capable de dynamiser l’attaque, a lourdement pesé sur les performances offensives de l’équipe. Son départ, survenu dans un contexte de tensions internes, semble avoir marqué un tournant décisif dans la saison du club.
Après avoir brillé avec l’équipe nationale algérienne et au niveau club, Bouzok a été mis de côté par le Raja, une décision qui apparaît aujourd’hui comme une erreur majeure. Depuis, le club marocain s’enfonce dans une crise à la fois sportive et institutionnelle.