Cette décision marque un désaccord notable avec l’enthousiasme général suscité par cette proposition. La candidature Maroc-Portugal-Espagne, qui vise à unir l’Europe et l’Afrique dans une célébration du football, bénéficie d’infrastructures modernes, d’une expérience avérée dans l’organisation d’événements majeurs et d’un large soutien politique et populaire. Cependant, la Fédération norvégienne, connue pour son engagement en faveur des droits humains et de l’éthique sportive, semble avoir des réserves quant à certains aspects du projet.
Le refus de la Norvège pourrait avoir un impact sur la dynamique de la campagne menée par le trio Maroc-Portugal-Espagne. Bien que cette candidature bénéficie du soutien de nombreuses fédérations, africaines et européennes incluses, chaque voix compte dans un processus de sélection compétitif. Face à cette annonce, les promoteurs de la candidature conjointe ont réaffirmé leur engagement envers la transparence et les valeurs du football.
Selon des observateurs, ils pourraient renforcer leur communication sur les aspects sociaux et éthiques du projet afin de convaincre les sceptiques. L’attribution de l’organisation de la Coupe du Monde 2030, qui marquera le centenaire de la première édition en 1930, revêt une importance symbolique considérable.
Il s’agit donc d’un enjeu politique et économique majeur. Avec le désaccord de la Norvège, la compétition s’annonce encore plus disputée.