La visite du Premier ministre français, Jean Castax, en Algérie n’est pas possible, du moins navant de faire connaissance avec le nouveau président français lors des prochaines élections du mois prochain, un report ou une annulation intervenue dans le cadre d’un mouvement diplomatique marqué par pression désespérée sur l’Algérie.
Ces pressions se sont concrétisées dans la récente position espagnole sur la question saharienne, qui résulte, selon des sources diplomatiques, d’une coordination entre la France, les États-Unis d’Amérique et l’Espagne, en concertation avec le régime marocain du Makhzen, considéré comme un fer de lance utilisé par les puissances occidentales pour attiser l’instabilité du Maghreb.
Après que la présidence française eut programmé la visite de Castax les 23 et 24 mars, et que l’ambassadeur d’Algérie à Paris, Mohamed Antar Daoud, s’était déplacé dans la capitale, afin de préparer les modalités de cette visite en coopération avec la partie française, l’ambassadeur a rendu un il y a quelques jours à son travail à Paris sans être comblé.Peu de résultats sur le terrain