L’Algérie se dresse contre la spéculation endémique qui entoure les véhicules neufs de la marque Fiat sur son marché automobile. Malgré la réintroduction des importations de voitures neuves, les prix restent inabordables pour de nombreux citoyens, tandis que des revendeurs profitent de cette situation pour réaliser d’énormes marges bénéficiaires.
L’Algérie intensifie sa lutte contre la spéculation entourant les véhicules neufs de marque Fiat. Malgré la réouverture des importations de voitures neuves, les prix demeurent excessivement élevés sur le marché. Les concessionnaires agréés de Fiat Algérie font face à des délais de livraison prolongés, tandis que des revendeurs profitent de la situation en achetant ces véhicules pour les revendre à des prix exorbitants.
Le ministère de la Justice a réagi en demandant aux notaires de ne plus enregistrer les transactions de vente de voitures neuves, visant ainsi à mettre fin à cette spéculation illégale et à protéger les droits des citoyens. Des vidéos circulant sur les réseaux sociaux montrent l’ampleur du problème, avec des véhicules Fiat vendus à des prix bien au-dessus des tarifs officiels.