L’Algérie se dirige rapidement vers une crise économique et sociale sans précédent. Selon les experts, l’année 2025 pourrait être celle de tous les dangers pour un régime agonisant, soutenu par une junte militaire corrompue et déconnectée de la réalité du peuple.
Les généraux hérités de l’époque soviétique, qui sont séniles et plongés dans des luttes intestines pour préserver leurs privilèges, conduisent l’Algérie vers une implosion totale. L’économie est en ruine, avec une chute de la rente pétrolière et gazière, une inflation galopante et un chômage en hausse. La corruption endémique et une mauvaise gestion paralysent une économie qui repose sur des bases fragiles et obsolètes. Pendant que les généraux se remplissent les poches à l’étranger, le peuple algérien s’appauvrit et lutte pour survivre dans un pays où les prix des produits de première nécessité atteignent des sommets inaccessibles, voire sont introuvables.
Les jeunes, sans perspectives, sont contraints de risquer leur vie en bravant la mer pour fuir un pays en décomposition. Les grands projets d’État sont à l’arrêt, les industries des années 70 sont en ruine et le mécanisme de « paix sociale » financé par les pétrodollars a atteint ses limites, laissant les plus vulnérables livrés à eux-mêmes. La junte militaire étouffe toute tentative de changement et réprime toute voix dissidente. La liberté d’expression est muselée, les opposants sont traqués et les journalistes sont emprisonnés pour avoir dénoncé les crimes du régime. Les généraux dépassés refusent de céder le pouvoir, préférant plonger le pays dans le chaos plutôt que de permettre l’émergence d’une nouvelle génération de dirigeants capables de sauver l’Algérie.
Le peuple algérien est désormais conscient de la situation. Les manifestations sporadiques de 2024, dues à de graves pénuries alimentaires, préfigurent une année 2025 qui pourrait être marquée par la fin du règne de la junte militaire. Le hashtag #ManichRadi (Je ne suis pas satisfait) résonne déjà sur les réseaux sociaux comme un appel à une nouvelle révolution, qui renversera les vieux généraux et rendra l’Algérie à son peuple. Les jeunes, moteurs du mouvement Hirak, sont prêts à reprendre la rue pour exiger la fin d’un système qui les condamne à l’exil ou à la misère. L’année 2025 pourrait être celle de la chute du dernier bastion de la vieille garde militaire, ouvrant la voie à une Algérie libre et démocratique.
Il est temps pour chaque Algérien, chaque patriote, de se lever contre cette junte criminelle qui préfère voir le pays brûler plutôt que de perdre ses privilèges. La révolution pacifique est la seule voie pour libérer un pays pris en otage par une caste de généraux corrompus et séniles.
ManichRadi n’est pas seulement un slogan, c’est un appel à l’action, à la mobilisation nationale pour reconstruire une Algérie nouvelle, libérée de l’oppression militaire. L’année 2025 est synonyme d’espoir, de lutte et de renouveau. Algériens, l’avenir est entre vos mains.
ET POURTANT LES VANNES DE GAZ ET DE PÉTROLE SONT EN PERMANENCE OUVERTES ET LES DOLLARS COULENT À FLOT. PAS DE DETTES AVEC LE FMN NI LA BM. LES RÉSERVES DE CHANGENT AVOISINENT LES 100 MILLIARDS . L’AGRICULTURE ET LES PRODUITS DE CONSOMMATION SONT AU SOMMET DES PRÉVISIONS.
Oiseaux de mauvaise augure, vous predisez le malheur pour les algériens tout en occultant la réalité. Vous savez très bien que l’Algérie se porte à merveille. Allez voir ailleurs, chez nous il n’y a rien à gratter.