Le coureur Algérien Bouraada a annoncé, samedi, sa retraite de l’athlétisme. Bouraada a conclu sa carrière sportive de la meilleure façon possible, lorsqu’il a remporté la médaille d’or du décathlon aux Jeux arabes en cours, qui se déroulent ces jours-ci en Algérie.
Avant la date susmentionnée, Bouraada ornait les étagères de son placard et les pages de son dossier de ses nombreux et précieux trophées dans la discipline du décathlon, tels que 5 médailles d’or au Championnat d’Afrique, 2 médailles d’or aux Jeux Africains, et atteignant la finale de les championnats du monde 2017, ainsi que d’autres médailles, que ce soit en métaux précieux, en argent ou en bronze. Aux avantages internationaux non mentionnés.
Larbi Bouraada a préféré pratiquer le décathlon, qui est une compétition difficile en athlétisme, tout comme les disciplines techniques (javelot, marteau, disque, lancer du poids, saut à la perche…) Les coureurs arabes et africains l’évitent généralement.
Ibn al-Raghaya (la capitale) – 35 ans – a apporté la sympathie du public algérien à la veille des Jeux olympiques brésiliens à Rio de Janeiro à l’été 2016, lorsqu’il a publié des photos de lui s’entraînant avec des capacités usées pour un rendez-vous planétaire, devant l’indifférence des responsables des fédérations d’athlétisme. Cependant, il s’est approché du podium avec une cinquième place, et a battu le record d’Afrique dans cette grande tribune, avec un score de 8521 points, et il détient toujours la distinction à ce jour.
A vrai dire, Larbi Bouraada est une extension des meilleurs coureurs d’athlétisme algériens, tels que Boualem Rahwi, Noureddine Morsli, Hassiba Boulmerga, Toufic Makhloufi, Azzedine Brahmi, Issa Djebir Said Qarni, Sayed Ali Sayyaf, Benida Nouria Merah, Yasmina Azizi et Nacira. Zaaboub Samia Gomaa, Hakim Toumi et Murad Maher Pacha.