Chaque année, la consommation de drogue fait des ravages à travers le monde. C’est la frange jeune de la population qui est beaucoup plus exposée à ce fléau. Selon le dernier rapport de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (Onudc) ce sont des personnes très jeunes qui consomment singulièrement de la drogue, ces individus jeunes sont même devenus des accrocs toute chose qui a des conséquences terribles sur leur santé et leur vie sociale.
Etudier de nouvelles méthodes de traitement
Ainsi selon l’Onudc, le nombre des toxicomanes qui ont été admis dans des unités de prise en charge comprend un grand nombre de jeunes. Les tranches d’âges sont répartis comme suit : 46,02 % des toxicomanes ont entre 16 et 25 ans. 34,86 % sont compris dans l’intervalle des 26 et 35 ans. Les moins de 15 ans représentent 4,30 % des individus qui développent une addiction à la consommation de drogue. Ces chiffres sont terrifiants et le nombre de cas ne fait que grimper d’année en année.
La récente crise sanitaire du coronavirus qui a engendré une pléthore de conséquences socio-économiques est venue renforcer l’addiction de nombreux jeunes à la drogue. L’Algérie n’est pas épargnée, raison pour laquelle les premières autorités ont pris les devants pour éviter que la jeunesse du pays ne sombre dans ce trou noir. Différents mécanismes ont été mis en place pour prendre en charge les jeunes toxicomanes. Les acteurs du monde de la santé ont notamment mis au point des traitements novateurs qui vont permettre de limiter les effets dévastateurs de la consommation de la drogue au sein de la frange jeune.