Kylian Mbappé sauve encore le Real Madrid face à un Séville réduit à neuf. La presse espagnole s’enflamme, dézingue l’équipe et salue le génie isolé du Français. Une situation explosive.
Seul contre neuf : Mbappé sauve un Real Madrid sans âme
Kylian Mbappé a (encore) dû porter le Real Madrid à bout de bras. Dans un match qui ressemblait plus à une mascarade qu’à un duel de Liga, les Merengue ont peiné à s’imposer face à un Séville FC… réduit à neuf joueurs pendant 45 minutes. Score final : 0-2, mais la honte est ailleurs. La star française a ouvert le score d’une frappe somptueuse, sortie de nulle part. Une étincelle dans un désert collectif. Et pendant que Mbappé courait, dribblait, frappait, le reste de l’équipe… marchait. La presse madrilène n’a pas mâché ses mots : « Ils ne sont même pas capables de se bouger pour aider Mbappé », s’indigne Marca. « Mbappé doit se démerder seul », balance même le quotidien, visiblement à bout.
Real Mbappé » : la presse espagnole tire à balles réelles
Les médias ibériques ont été unanimes : ce Real Madrid, c’est celui de Mbappé et personne d’autre. Le journal Relevo ne tourne pas autour du pot : « Mbappé mérite d’être l’épicentre indiscutable du Real Madrid. »
Plus qu’une vedette, le Français est devenu un plan de sauvetage permanent. Pendant 85 minutes à 11 contre 9, aucun autre joueur n’a su faire la différence. Silence de Bellingham, disparition de Vinicius, errance de Rodrygo. Un tableau accablant. Et ce constat dérange : Le Real Madrid n’a plus d’identité collective; Il n’existe que par les éclairs d’un seul homme.
Pichichi en vue : Mbappé vise le trône de Liga
Derrière l’indignation, un objectif bien réel se dessine : le Soulier d’Or de Liga. Mbappé a désormais dépassé Robert Lewandowski, ralenti par une blessure. Et avec cette nouvelle démonstration, le Français prend une longueur d’avance dans cette course féroce au titre de meilleur buteur. Chaque match devient un combat, pas seulement pour les trois points, mais pour l’héritage personnel de Kylian Mbappé en Espagne. Et pendant que ses coéquipiers cherchent encore leur place, lui marque l’histoire.