Kaylia Nemour brise le silence sur les polémiques autour de son départ du club Avoine-Beaumont. Entre critiques, révélations sur ses anciens entraîneurs et son attachement à l’Algérie, la gymnaste s’exprime sans détour.
Réactions de Kaylia Nemour aux polémiques
Kaylia Nemour, gymnaste olympique représentant l’Algérie, s’exprime au sujet des critiques reçues par elle et sa mère Stéphanie. Actuellement au Texas pour sa préparation, elle a partagé, lors d’une interview avec l’Équipe, des détails sur les conditions d’entraînement difficiles de son ancien club Avoine-Beaumont. Elle déclare vouloir faire la lumière sur des rumeurs et mensonges circulant dans son ancien environnement sportif. Le départ de Kaylia de son club formateur a provoqué une vague de critiques visant également sa mère. Elle insiste sur son autonomie de décision, précisant qu’elle a la maturité nécessaire pour ses choix personnels.
Transition vers l’équipe d’Algérie
Découvrant l’ampleur des tensions seulement lors d’un stage en Algérie, Kaylia décrie les attaques envers sa mère et souhaite rétablir sa version des faits pour se recentrer sur ses ambitions sportives. Heureusement, son engagement pour l’Algérie ne suscite aucun regret. Elle confie avoir développé une véritable affection pour le pays, s’impliquant régulièrement pour découvrir la culture algérienne. Avec l’équipe nationale, elle accumule les médailles, un contraste avec les expériences négatives de son ancien club.
Critiques des méthodes entraîneurs précédents
Kaylia Nemour se remémore les méthodes discutables de ses anciens entraîneurs Marc Chirilcenco et Gina, marquées par des cris et des humiliations. Les mauvais souvenirs incluent des moments où elle s’est retrouvée seule pendant des heures dans les vestiaires, doutant de la possibilité de continuer l’entraînement. Elle partage également avoir été empêchée de célébrer sa médaille d’or olympique avec ses proches à Paris, une situation empirée par le refus de Gina de recevoir un bouquet de fleurs offert en signe de paix. Ce rejet, empreint de méchanceté selon elle, lui a retiré une joie qu’elle estime inoubliable.