Nadia Serhani, employée hospitalière d’origine algérienne en France, a été confrontée à un système administratif rigide qui l’a empêchée de dire adieu à son père décédé. Cette histoire souligne les défis auxquels de nombreuses personnes sont confrontées en face d’un système bureaucratique déconnecté des réalités humaines, notamment en périodes de deuil.
Nadia Serhani, résidant en France depuis 21 ans, a été diagnostiquée avec une double pathologie tendineuse, limitant ses déplacements. Malheureusement, lors du décès de son père à Roubaix, elle a dû faire face à un système bureaucratique rigide qui l’a empêchée de lui rendre un dernier hommage. Malgré ses tentatives pour obtenir une autorisation exceptionnelle de voyage, elle s’est heurtée à des règles strictes et à un manque de compréhension de la part de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM). Cette histoire met en lumière les luttes de nombreuses personnes face à un système administratif parfois déconnecté des réalités humaines, en particulier en période de deuil.