Il aura fallu que soit déclenchée cette guerre en Ukraine pour que le monde se rende à l’évidence que les hydrocarbures sont d’une importance vitale.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que le secteur de l’hydrocarbure est plein d’avenir. D’ailleurs, les besoins croissants qu’il suscite sont la preuve qu’il faut davantage investir en la matière pour répondre à la demande sans cesse à la hausse. L’Afrique, terre où surabondent les richesses pétrolières et gazières fait l’objet d’un intérêt colossal de la part des grandes multinationales qui activent dans le domaine. A en croire la Chambre africaine de l’énergie (AEC), l’Algérie et l’Égypte partageront un pourcentage similaire des opérations de forage, en accueillant sur leurs territoires l’équivalent des deux tiers de tous les forages et explorations terrestres prévus au cours de cette période (2024-2025) en Afrique. Il devient donc indiscutable que ces nations maghrébines détiennent des parts importantes dans ce domaine.