Le projet de création d’une fondation pour les Harkis en France, récemment annoncé par la ministre française chargée des Anciens combattants, Patricia Mirallès, a ravivé les tensions dans les relations entre la France et l’Algérie. Les Harkis, anciens combattants algériens qui ont soutenu l’armée française pendant la Guerre d’Algérie, sont perçus différemment par les deux pays.
En France, les Harkis sont considérés comme des héros qui ont combattu aux côtés de l’armée française, contribuant ainsi à son prestige. La création d’une fondation vise à mieux faire connaître leur histoire et leur apport à l’armée française.
Cependant, en Algérie, les Harkis sont largement perçus comme des traîtres ayant participé aux persécutions, violences, meurtres, et viols pendant la Guerre d’Algérie. Le terme « harki » est souvent utilisé de manière négative. Dans l’inconscient collectif algérien, leur rôle est controversé, et on estime que sans leur implication, la guerre aurait peut-être pris fin plus tôt.
Cette initiative française suscite donc des réactions en Algérie, où les demandes d’excuses de la France pour les événements de la Guerre d’Algérie persistent. La création de cette fondation est perçue par certains comme une provocation, remettant en lumière une page douloureuse de l’histoire commune entre les deux pays.
Je ne comprends rien avec l’Algérie,ces gens ( les harkis) ont choisi le Colognalisme , c’est leur libre choix,et maintenant a chaque que la France parle le gouvernement algérien se fâche et considére ça comme une provocation, si je comprends, aujourd’hui dès que la France parle de ses militaires elle doit demander a l’Algérie la permission, mais où on va ,ils demandent a la France de ne pas se mêler de leurs affaires, mais eux ils s’octroient l’autorisation de faire ce qu’ils ne veulent pas pour eux , je me demande si Tebboune n’est pas un peu dérangé de sa tête.