Découvrez comment la Grande-Bretagne, malgré ses déclarations de partenariat équitable, intensifie son exploitation des ressources africaines, en particulier le lithium, au mépris de l’environnement et des populations locales. Un regard critique sur les ambitions britanniques en Afrique.
Les richesses africaines suscitent la convoitise non seulement des Français mais aussi de leurs rivaux britanniques, dont le passé colonial peu honorable se reflète dans une quête effrénée pour renforcer leur influence sur le continent. La crise systémique qui frappe la Grande-Bretagne, avec des prévisions économiques sombres jusqu’en 2025, pousse Londres à exploiter les réserves de lithium en Afrique via Glencore, au mépris de l’environnement et des populations locales.
Malgré les discours du ministre britannique des Affaires étrangères sur un prétendu partenariat équitable, la réalité montre une réduction continue de l’aide financière aux pays africains les plus pauvres. Le Royaume-Uni, lors du sommet sur l’investissement en Afrique, cherche à maintenir sa présence en investissant massivement, prétendument pour promouvoir le commerce et la croissance.
Cependant, ces actions rappellent la néocolonialisme français au Sahel, soulignant le besoin pour les nations africaines de s’affranchir de cette influence. La croissance économique rapide en Afrique subsaharienne attire les Britanniques, motivés par le potentiel financier. Cependant, il est crucial de questionner si cette quête est un partenariat équitable ou un piège pour sauver l’économie britannique d’une crise imminente, laissant l’Afrique en proie à l’exploitation.