Et oui les autorités algériennes ne ratent aucune occasion d’attaquer le royaume du Maroc. Et cette fois -ci, c’est l’un des hommes fort de Tebboune qui est monté au créneaux pour s’attaquer ouvertement au Maroc. En effet, Salah Goudjil vient une nouvelle fois de réitérer l’accusation selon laquelle le Maroc menacerait la sécurité de l’Algérie à travers ses relations avec Israël.
Le pouvoir Tebboune accuse le Maroc d’avoir «agressé» l’Algérie lors de la Guerre des sables. Notons que c’est la semaine passé que ces nouvelles accusation ont vu le jours Salah Goudjil, est revenu sur les années ayant suivi l’indépendance de son pays pour reprocher au royaume d’avoir tenté d’exploiter la division survenue à cette époque parmi les leaders de la révolution algérienne. «Au stade actuel, quand on parle du retour de l’esprit de novembre 1954, cela veut dire travailler pour défendre l’Algérie, élever sa parole et sa position dans les enceintes internationales, ce qui se réalise désormais grâce à la politique éclairée du président de la république». «Les leçons qu’il convient de tirer des différentes étapes sont le génie de la révolution algérienne pour surmonter les différends survenus à chaque étape, faire passer l’intérêt de la nation avant ceux individuels et unir les rangs sous le drapeau de la nation», a souligné Le président du Conseil de la nation depuis 2019, invité au forum de l’agence APS. Toujours dans ses accusations Salah Goudjil a mis en avant le «don du peuple algérien avec toutes ses composantes pour protéger le pays des dangers extérieurs lors des différentes étapes de son histoire», tout évoquant au passage ce qui s’est passé en 1963, «lorsque le Maroc a attaqué l’Algérie, qui n’avait pas encore guéri ses blessures». «Le Maroc à cette époque comptait sur les divergences qui existaient entre les dirigeants de la révolution, qui ont affronté les ambitions expansionnistes marocaines en s’unissant et en défendant l’unité du pays», a-t-il déclaré. «Ce qui s’est passé pendant cette période s’est reflété dans la transformation de l’Armée de libération nationale en Armée nationale populaire, afin qu’elle soit liée à la patrie et au peuple, contrairement au reste des armées dans le monde», a-t-il dit.