La France se trouve à l’aube d’un important vote concernant une nouvelle loi sur l’immigration, une législation élaborée sous l’égide du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin. Les discussions actuellement en cours autour de cette loi mettent en lumière une division profonde au sein du pays sur cette question cruciale. La droite politique et l’extrême droite exercent une pression constante sur le gouvernement pour renforcer les conditions d’immigration, tout en critiquant le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, qu’ils estiment trop tolérant en ce qui concerne l’exécution des Obligations de quitter le territoire français (OQTF).
Ces débats s’inscrivent dans un contexte particulier marqué par le conflit israélo-palestinien, un événement qui a propulsé la question de la sécurité au cœur des préoccupations en France. C’est dans ce contexte tendu que le ministre français de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a programmé une visite officielle en Algérie, comme en témoignent divers médias algériens. Cette visite est prévue pour les journées du samedi 4 et du dimanche 5 novembre.
Il convient de noter que bien que le but précis de cette visite ne soit pas encore clairement défini, elle intervient à un moment où le président français tente de raviver les relations bilatérales entre la France et l’Algérie. Néanmoins, il est probable que cette visite abordera, entre autres, des discussions relatives au nouveau projet de loi sur l’immigration en France, en raison notamment de la présence substantielle de la communauté algérienne dans ce pays.
Au cours de sa visite à Alger, Gérald Darmanin devrait très probablement évoquer la question des laissez-passer consulaires, un sujet d’intérêt partagé entre les deux nations. De plus, il devrait aborder la problématique de l’exécution des OQTF, qui demeure un sujet de préoccupation entre l’Algérie et la France. En effet, la France doit obtenir l’accord des autorités algériennes pour expulser les ressortissants algériens en situation irrégulière, en particulier ceux considérés comme radicalisés. Ces expulsions ont connu une augmentation notable à la suite de l’assassinat d’un professeur à Arras par un jeune radicalisé le 13 octobre, ce qui a intensifié les tensions autour de cette question.
Par ailleurs, le ministre Gérald Darmanin, qui s’était déjà rendu en Algérie en décembre 2022, devra également aborder la question des visas, un sujet épineux qui persiste entre les deux pays. Malgré les annonces précédentes du ministre concernant un retour à la normale dans l’octroi de visas aux Algériens, il est impératif de clarifier la politique française dans ce domaine. Une politique de restriction non officiellement annoncée suscite des interrogations. En conséquence, l’Algérie et la France devront trouver un équilibre délicat entre l’octroi de visas et la délivrance de laissez-passer consulaires aux ressortissants algériens faisant l’objet d’une OQTF.
l’Algérie comme tous les pays arabes qui ont leurs ressortissants en France ou en Europe s’en foutent totalement d’eux, que darmanin ont tartempion iront les voir cela ne change rien pour eux , oui ça change pour leurs immigrés qui vont fermer leurs gueules et qui se maintiendront tranquilles en France ou en Europe, a chaque qu’ils critiquent leurs dirigeants ils seront marqués en rouge tant qu’ils n’ont rien en France mais dès qu’ils feront quelque chose en et bien la France informera leurs pays pour leur faire croire que c’est un terroriste et preuve voilà depuis bien longtemps il n’a cessé de vous critiquez donc il est dangereux pour vous on vous le renvoie et cela pour faciliter son expulsion, car ils savent que la démocratie n’existe pas chez nous et que nos justices sont expéditives au clin d’oeil et surtout si on leurs facilitent les Visas pour rentrer chez eux et en plus leur faciliter les bourses et l’inscription dans les universités.