Au cœur de la bande de Gaza, les bombardements israéliens s’acharnent pour le sixième jour consécutif, plongeant la population dans un cauchemar sans fin.
Dans ce contexte apocalyptique, les Palestiniens subissent l’obscurité totale due à la coupure d’électricité et le manque d’eau, imposés par Israël. Plestia Al Aqad, une courageuse journaliste palestinienne, a filmé avec ses deux smartphones la vie dans ce territoire en proie à la terreur.
Ses vidéos, diffusées par le média en ligne AJ+, témoignent du quotidien insoutenable de la population palestinienne dans la bande de Gaza. Coincés dans une enclave sur laquelle s’abat l’armée israélienne depuis samedi, les Palestiniens tentent de survivre malgré tout.
La journaliste, dans un calme précaire, commente les scènes tragiques qui se déroulent autour d’elle. Elle raconte comment les familles se regroupent loin des fenêtres, une tentative désespérée de se protéger. Les bruits assourdissants des explosions israéliennes interrompent sans cesse son récit.
L’atmosphère est irrespirable, et Plestia Al Aqad se préoccupe pour ses proches, dont elle vérifie régulièrement le bien-être.
Depuis sa fenêtre, elle contemple un paysage dévasté, plongé dans l’obscurité par un nuage de poussière. Dès que la visibilité s’améliore, elle découvre l’étendue des dégâts provoqués par les bombes larguées par les avions israéliens, des attaques qui ont fait des centaines de victimes parmi les civils, notamment des enfants, des personnes âgées et des femmes sans défense.
La jeune journaliste filme aussi les difficultés auxquelles font face les secours pour atteindre les zones touchées par les bombardements. Une de ses vidéos montre un homme appelant désespérément une ambulance depuis sa fenêtre.
Plestia Al Aqad doit recharger ses smartphones dans un hôpital équipé d’un générateur d’électricité en raison de la pénurie d’énergie causée par le blocus israélien et le manque de carburant. Cependant, cette solution temporaire pourrait rapidement devenir impossible en raison des restrictions croissantes.
Une scène particulièrement marquante montre une famille rassemblée dans l’obscurité, coupée du monde extérieur, tandis que les bombes israéliennes s’abattent tout autour d’eux.
Pourtant, malgré l’horreur qui les entoure, les Palestiniens tentent de survivre.
Les frappes israéliennes ont détruit des quartiers entiers de Gaza, provoquant la mort de nombreuses victimes palestiniennes, en majorité des civils sans défense.
Depuis l’attaque du Hamas contre Israël le samedi 7 octobre, qui a causé la mort de plus de 1200 Israéliens, les frappes israéliennes sur la bande de Gaza ont fait 1417 morts et plus de 6200 blessés, selon un bilan du ministère palestinien de la Santé publié ce jeudi.
— AJ+ français (@ajplusfrancais) October 11, 2023
Nique la race des arabes, cette race humilié,une race de la honte,une race qui n’a plus de courage, une race qui pense qu’à son ventre, une race de bon a rien, une race en temps de paix elle vous dit qu’elle a le courage, et en temps de guerre ils couchent ,ils voient leurs frères se massacrés et ils ne bougent pas a quoi ça
sert que cette race existe, cette race dirigé par des humiliés avec des coeurs morts , j’ai honte de dire que je suis un arabe.