En Algérie, la pratique du torchage du gaz naturel se traduit par une perte financière considérable. Selon les estimations, cette pratique engendre chaque année un manque à gagner qui peut atteindre jusqu’à 4 milliards de dollars pour Sonatrach, l’entreprise pétrolière nationale.
Un défi économique majeur
Le recours au torchage, qui consiste à brûler l’excédent de gaz produit lors de l’extraction de pétrole, représente non seulement un gâchis économique, mais également une problématique environnementale. Cette méthode, pourtant courante, prive le pays d’une ressource précieuse qui pourrait générer des revenus supplémentaires.
Une nécessité de revoir les pratiques énergétiques
Face à cette situation préoccupante, il devient essentiel pour l’Algérie de revoir ses stratégies en matière d’exploitation énergétiques. Encourager des solutions plus durables et réduire le torchage pourrait non seulement améliorer la rentabilité de l’exploitation des ressources naturelles, mais aussi contribuer positivement à la préservation de l’environnement.