Si jadis le foyer était un havre de paix et de joie aujourd’hui tout semble indiqué cela s’est transformé en un couloir de sang avec des tueries à hautes doses. Et c’est encore un algérien qui a marqué sa signature à travers l’assassinat de sa propre femme avec des coups de pelle après 54 ans de mariage. Crime adieux crime crapuleux. Mais hélas cet algérien s’en sort avec seulement 20 ans de prison. Son procès s’est déroulé la semaine dernière à Montpellier. Nous faisons un come-back sur cette affaire pathétique mais également sanguinaire, dans cette édition de ce jeudi 20 octobre 2022.
Marié en 1964 avec Akila à Lyon, Abderrahmane a décidé de mettre fin à la vie de celle avec qui il avait juré fidélité amour et protection. En effet, notons que le couple en question, après une vie consacrée à la famille, mais aussi au travail, ont réussi à acquérir une belle maison dans l’Hérault. Cependant, après plusieurs années de vie partagée, les problèmes de couples commencent à surgir de nulle part, et Akila, l’épouse, commence à s’en lasser. Déjà en août 2018. Agé de 79 ans, l’homme avait développé une forme de Paranoïa. Il soupçonnait son épouse âgée de 73 ans de l’avoir trompé, au sein du foyer conjugal. Ne pouvant pas ne pouvant plus supporter les crises de jalousie de son mari. Ni rester son « assistante de vie », elle demande donc le divorce.
L’homme refuse le divorce, et entame une « entrée fracassante dans le monde de la criminalité ». Avec une quarantaine de coups de pelle, il tue son épouse Akila après 54 ans de mariage. A noter que durant son proces l’homme reconnait son crime mais soutient que son acte relevait « d’un coup de folie ». Après un procès qui a duré trois jours le tribunal a condamné cet Algérien à 20 ans de réclusion criminelle.