Le président de l’Algérie, Abdelmadjid Tebboune, affirme officiellement la fin des mesures d’austérité dans le pays. Le 21 septembre 2025, il a clairement indiqué que plutôt que de continuer à discuter de politiques d’austérité, l’Algérie se concentrerait désormais sur la stimulation de la consommation et de l’investissement public.
Stratégies économiques pour une croissance durable
Dans un contexte de reprise économique, le gouvernement algérien décide de soutenir la croissance par la consommation et l’investissement, évitant ainsi des coupes budgétaires sévères. L’approche favorise une économie stable et le pouvoir d’achat des citoyens. Le président Tebboune estime que l’austérité, bien que discutée par le passé du fait de la chute des revenus pétroliers, n’est pas appropriée pour le moment actuel.
Diversification économique et réformes à venir
Par cette annonce, le gouvernement algérien sous la direction de Sifi Ghrieb redéfinit ses priorités, avec un fort accent sur la diversification économique pour réduire sa dépendance aux hydrocarbures. Les réformes structurelles prévues incluent des investissements dans l’agriculture, l’industrie, et les technologies, tout en promouvant un environnement favorable aux investissements, tant nationaux qu’étrangers. Le renforcement de la gouvernance économique et la lutte contre la corruption sont aussi à l’ordre du jour.

Je suis un Algérien qui a investi dans l hôtellerie et je sais que la bureaucratie est un frein pour le développement de tous les secteurs. Apres des années de lutte contre des obstacles administratifs, et à mon âge avancé, j ai pu me rendre compte que j ai perdu mon argent et ma santé. On m a donné un lot de terrain à Ghardaia pour la réalisation d’ un projet touristique et dans cet endroit il n y avait ni eau , ni électricité, ni gaz ni branchement des égouts. Résultats : Impossible de respecter le délai de remboursement du crédit contracté auprès de la banque . Plusieurs années de retard pour la réalisation de ce projet , et à la fin on m interdit d exploiter mon établissement sous prétexte que la loi prévoit une enquête administrative à l encontre du gérant de l hotel diplômé de plusieurs écoles hôtelières ( on aurait dû me le demander bien avant ) En fin de compte , on m a imposé de payer des centaines de millions de dinars comme pénalités de retard malgré le Covid et les contraintes indépendantes de ma volonté. Tout est centralisé au niveau d Alger et impossible de bénéficier d une audience auprès du Directeur général. Toutes mes lettres adressées aux hautes compétences demeurent vaines .
@CHEBBOUT Abdelhamid …. ni eau ni electricité ni égouts à Ghardaïa …. vous voulez faire croire ça à qui ? MDR ! Arrêtez de faire croire que cette ville disposant de toutes les commodités est un trou perdu ! Il y a des Air BNB, des Hôtels, des pensions tout cela avec piscine …. Quant à votre gérant, il peut être diplômé et incompétent ….