La spéculation sur les véhicules neufs de la marque Fiat est sérieusement combattue par le gouvernement algérien.
En effet, le coût des voitures neuves ou usagées est tel que le citoyen algérien éprouve de la difficulté à s’en procurer. Même les modèles proposés par la marque italienne Fiat coûtent une fortune. La situation est devenue plus embarrassante en ce sens que les revendeurs acquièrent les voitures en usant parfois de prête-noms. Ensuite, ils les revendent en ayant des marges bénéficiaires considérables. Ainsi, le ministère de la Justice a interdit aux notaires de se garder de procéder aux transactions de vente des voitures neuves.