Lorsque l’engagement politique se mêle à l’initiative industrielle, cela se traduit par des transformations tangibles. À Oran, l’agitation prend vie dans les tout nouveaux ateliers de Fiat, où les premières soudures et les étincelles des cabines de peinture ne sont pas juste les bruits habituels d’une usine en activité, mais aussi la concrétisation d’un engagement respecté.
Stellantis, société mère de Fiat, avait promis au président algérien Abdelmadjid Tebboune d’investir significativement et de générer de l’emploi local. Cette promesse se matérialise aujourd’hui dans les structures en acier du complexe industriel oranais, transformant un simple projet annoncé en une réalité palpable. Stellantis a récemment franchi un cap important en achevant le recrutement de la première équipe dédiée aux ateliers de soudure et de peinture de l’usine Fiat d’Oran.
Ces nouveaux employés, spécialisés et formés selon les standards internationaux de l’industrie automobile, marquent le début d’un projet bien plus vaste. En effet, l’ambition de Stellantis ne se limite pas à ce groupe initial ; une extension du projet prévoit l’embauche de 550 travailleurs spécialisés additionnels, venant renforcer les 1650 employés déjà en place.
À travers cette initiative, l’entreprise vise à établir un pôle industriel durable et structuré au cœur de l’Algérie productive. Ce progrès représente non seulement une étape clé pour Stellantis, mais aussi un élément stratégique dans le programme de réindustrialisation des autorités algériennes. L’usine Fiat d’Oran transcende son statut de projet théorique pour devenir un acteur essentiel de l’économie nationale, conformément aux accords avec le président Tebboune. En formant une main-d’œuvre locale qualifiée, Stellantis ne stimule pas seulement l’emploi, mais élève également le niveau technique du secteur automobile national.

Chaque soudeur et peintre devient porteur d’un savoir-faire que l’Algérie souhaite désormais maîtriser complètement. Le projet de production intégrale, en pleine expansion, illustre une montée en puissance méthodique et progressive de l’appareil industriel de Stellantis en Algérie. L’engagement envers le président Tebboune ne se limitait pas à des promesses diplomatiques, mais se manifeste aujourd’hui par des embauches concrètes, des ateliers fonctionnels et des chaînes de production qui s’activent progressivement.
Derrière ces chiffres – 1650 employés actuels, 550 à venir se profile une réalité humaine faite de nouveaux métiers et perspectives de carrière, apportant un espoir renouvelé pour la région. L’usine d’Oran est en passe de devenir bien plus qu’un site d’assemblage, aspirant à se transformer en un centre de fabrication complet capable à terme de répondre aux besoins du marché local et d’envisager l’exportation. Cette vision, autrefois ambitieuse, se concrétise aujourd’hui solidement, s’inscrivant dans une stratégie de souveraineté industrielle que l’Algérie, avec ses partenaires stratégiques, entend maintenir sur le long terme.
Au fur et à mesure que les recrutements se poursuivent et que les infrastructures se développent, Stellantis confirme son engagement et son sérieux. La promesse faite à Tebboune ne s’est pas dissipée dans les complexités administratives ou les retards d’exécution. Elle vit, progresse et se construit, au rythme des équipes qui s’installent dans les ateliers, des machines qui se mettent en place et des premiers véhicules qui seront bientôt produits.
Fiat, par l’intermédiaire de Stellantis, ne se contente pas d’ouvrir une usine ; elle contribue à ouvrir un nouveau chapitre dans l’histoire industrielle de l’Algérie, où l’emploi local, la formation et l’amélioration économique sont désormais des priorités clairement affirmées, conformément aux souhaits du président Tebboune.