Arrivé il y a tout juste un an, Ramiz Zerrouki est déjà indésirable à Feyenoord. Salaire XXL, perte de valeur, statut de remplaçant : le club veut s’en débarrasser. Découvrez pourquoi cet été sera crucial.
Ramiz Zerrouki, de star attendue à poids mort : Feyenoord songe à l’exfiltrer
Il était censé incarner la relève au milieu. Un an après son transfert à 7,2 millions d’euros, Ramiz Zerrouki n’est plus qu’un nom sur la feuille de match. À Feyenoord, on ne parle plus de son avenir… mais de sa sortie. Le chiffre fait grincer des dents : 34 000 euros par semaine, soit 1,76 million d’euros par an. Zerrouki, quatrième salaire du vestiaire, coûte cher.
Trop cher pour un joueur relégué au rang de remplaçant cette saison. Les supporters s’interrogent : comment justifier un tel traitement pour un joueur si peu utilisé ? En interne, le malaise est palpable. Feyenoord, à la recherche d’équilibre financier, considère désormais l’international algérien comme un frein à sa stratégie sportive.
Une valeur en chute libre, un avenir flou
Le constat est brutal : la valeur marchande de Zerrouki a fondu. Passée de 10 millions d’euros fin 2023 à 6,5 millions aujourd’hui, elle symbolise son déclassement. Pire : il figure parmi les joueurs les mieux payés de l’Eredivisie, alors qu’il joue peu. Pendant que Bijlow, Stengs et Hancko mènent la danse avec des performances solides, Zerrouki s’enfonce. Jordan Henderson domine le classement des salaires, mais lui, au moins, joue. À Rotterdam, l’heure est venue de trancher.
Un transfert inévitable pour sauver les meubles
Dans les coulisses, le message est clair : Zerrouki doit partir. Pour le club, c’est une urgence économique. Pour le joueur, une nécessité sportive. L’été s’annonce tendu, mais un transfert pourrait tout changer. Les options ? Encore floues. Mais une chose est sûre : ni Feyenoord ni Zerrouki ne veulent vivre une saison de plus comme celle-ci. La rupture semble inéluctable.