Plongez dans une discussion approfondie avec Enrico Macias, réalisateur du film, et Enrico Macias, acteur principal, alors qu’ils partagent leurs pensées sur la création cinématographique, la sagesse de l’âge et la passion pour la musique qui transcende les générations.
Dans cet entretien exclusif, nous avons eu l’opportunité de converser avec Enrico Macias, le talentueux metteur en scène du film, et Enrico Macias, l’acteur principal dont la présence éclaire chaque scène. Ensemble, ils nous offrent un regard en profondeur sur les thèmes du film, la représentation de la vieillesse et l’impact de la musique sur nos vies.
Hommage à Gérard Depardieu :
Enrico Macias tient à clarifier dès le départ qu’il ne cherche pas à rendre hommage à Gérard Depardieu en tant qu’individu, mais plutôt à son personnage dans le film précédent. Il souligne son profond respect pour toutes les personnes impliquées dans l’industrie cinématographique et exprime son désir que l’attention se concentre sur les histoires et les expériences des victimes, plutôt que sur les controverses entourant les acteurs.
Les Seniors dans le Film :
Le film offre une perspective rafraîchissante sur la vieillesse, mettant en vedette des personnages seniors qui défient les stéréotypes et défendent une vision dynamique de la vie. Enrico Macias partage son désir de changer la perception négative de la vieillesse en montrant que les seniors sont pleins de vitalité, de curiosité et de désirs. Il croit fermement que la vieillesse devrait être célébrée pour la richesse et la sagesse qu’elle apporte, plutôt que d’être crainte ou ignorée.
Enrico Macias : Vieillir avec Sagesse
Enrico Macias, dont la présence sur l’écran est aussi captivante que jamais, partage son propre parcours avec la vieillesse et son amour inébranlable pour la musique. À 85 ans, il continue à se produire sur scène, attirant un public de toutes les générations. Pour lui, la clé pour rester jeune est de rester connecté avec les jeunes et de cultiver une attitude de curiosité et d’ouverture d’esprit. Son engagement envers la musique et son désir de partager sa passion avec les autres témoignent de la vitalité intemporelle de l’esprit humain.
À travers cet entretien, Enrico Macias nous offre une réflexion profonde sur la vie, l’art et la persévérance. Sa vision inspirante du vieillissement nous rappelle que chaque étape de la vie apporte son lot de défis et de joies, et que la musique, comme forme d’expression universelle, peut transcender les frontières générationnelles et nous unir dans une célébration commune de la vie.
Il vous paye fort ce rigolo de cirque pour consacrer un grand sujet sur lui, ça fait 3 fois dans un mois que vous nous pompez avec vos écrits sur lui, personne ne s’intéresse a lui ça ne sert a rien de nous raconter ces bêtises de ce bêtisier.
Enrico Macias avec l’armée israélienne en octobre 1973
Enrico Macias avec des soldats de l’armée israélienne pendant la guerre du Kippour le 23 octobre 1973 en Israël. (Photo by Jean-Claude FRANCOLONGamma-Rapho via Getty Images)
17 squelettes retrouvés dans la cave de la maison de Enrico Macias à Constantine en 2008 !
Abed Charef, écrivain et journaliste de renom, aborde ici la question douloureuse de la guerre d’Algérie et rappelle qu’à Constantine par exemple, des milices avaient été constituées sous la houlette de Maurice Papon, alors préfet de cette ville. Au sein de cette milice, il cite Enrico Macias qui en faisait partie et il en veut pour preuve les nombreux témoignages de personnages encore vivants, des Constantinois l’ayant connu et vu portant l’uniforme et l’arme.
Le Mossad a été réellement impliqué durant la guerre d’indépendance, contre le FLN. C’est ce que révèle le quotidien israélien «Maariv», à l’occasion du rassemblement mondial des juifs originaires de Constantine qui se tiendra à Jérusalem, cette semaine.
A 78 ans, l’agent Avraham Barzilai a décidé de parler de son passé d’agent du Mossad, en Algérie. Précisément à Constantine ou, à 29 ans, il avait été envoyé par les services secrets israéliens, en compagnie de sa femme, afin de monter des cellules opérationnelles pour faire la guerre à l’ALN, sous la couverture d’un modeste enseignant d’hébreu. L’histoire est rapportée par le quotidien «Maariv», reprise par le site «Proche-Orient Infos» et a été publiée à l’occasion du plus grand rassemblement, jamais organisé en Israël, des juifs sépharades de Constantine, emmené par le chanteur Enrico Macias.
Ce que racontent l’agent Barzilai et son responsable direct, Shlomo Havilio, en poste en 1956 à Paris, sont les détails d’une opération des services du Mossad qui ont entraîné et armé des cellules composées de jeunes juifs de Constantine pour faire la guerre à l’ALN. Les deux agents, qui avaient déjà servi dans l’unité 131 des services de renseignements de l’armée israélienne en Egypte, avaient déjà monté des cellules similaires pour déstabiliser le gouvernement de Nasser en armant des juifs égyptiens, lors d’une opération ratée, connue sous le nom de code de «la sale affaire».
Ces agents, plus connus dans le jargon du Mossad comme étant des «Metsada» (chargé des opérations spéciales), faisaient partie, comme les agents israéliens actuels de «la division de la Recherche», responsable de l’interprétation des renseignements. Selon le découpage du Mossad en 15 zones géographiques, le Maghreb (Maroc, Algérie, Tunisie), occupe une place prédominante surtout depuis qu’Israël s’est mis dans l’idée de relancer la normalisation avec Rabat et Tunis.