L’Algérie est entrain de devenir un carrefour de l’économie mondiale. Avec l’avènement de la crise russo-ukrainienne, l’ordre économique mondial s’est retrouvé totalement bouleversé avec des conséquences sur la livraison en hydrocarbures. L’italien ENI s’apprête à rabattre les cartes.
Toutes les chancelleries occidentales se bousculent actuellement aux portes de l’Algérie pour négocier la livraison des importantes ressources n hydrocarbures de l’Algérie. Chacun y va de son opération de charme.
L’entrée en force d’ENI en Algérie
L’Allemagne, la France, l’Italie, et d’autres pays veulent avoir accès au pétrole et au gaz algérien pour en finir avec la dépendance vis à vis de la Russie. Tout récemment, le géant italien des hydrocarbures, ENI a annoncé avoir acquis les actifs British Petroleum (BP) en Algérie. Un géant remplace donc un autre géant.
British Petroleum aura ainsi exploité les ressources algériennes durant 30 ans. Place maintenant à l’italien ENI. La multinationale italienne a réussi un véritable coup de maître avec l’acquisition des parts de BP. La société va se positionner comme un des acteurs importants de la livraison de gaz et de pétrole vers l’Europe. Cependant, il ressort que la Sonatrach aura son mot à dire aura son mot à dire dans cette opération.