Enfin, découvrez les véritables raisons du départ des médecins algériens vers la France

Nous vous invitons à comprendre à travers cette édition, pourquoi les médecins algériens n’hésitent plus devant une occasion de quitter l’Algérie et d’exercer en France. Mais avant d’entrer dans le vif du sujet, il faut signaler que plus de 1200 médecins algériens auraient durant le début de l’année 2022 réussir aux  épreuves de vérifications de connaissances qui leur permettraient d’émigrer en France et y exercer. N’oublions également pas que plus de 5000 médecins algérien travaillent déjà en France. Des chiffres qui méritent sans doute une grande réflexion. 

Avant tout il faut savoir que la première sources de motivation des médecins algérien c’est le salaire. En France les médecins algériens gagneraient le double de ce qu’ils perçoivent en Algérie . En effet, un médecin libéral touche annuellement 120 000 euros, donc environ 10 000 euros par mois, sachant que le salaire moyen en France est de 1 789 €. Cependant, il faut signaler que les salaires des médecins diffèrent selon les spécialités, les mieux payés sont sans doute les  radiothérapeutes (radiothérapie), les médecins nucléaires, les radiologues ainsi que les anesthésistes-réanimateurs. Il faut également signalé que les médecins les moins bien payés sont les pédiatres et les psychiatres. Ceux-ci touchent annuellement un peu moins de 90 000 euros. Par compte en Algérie, un médecin Algérien touche 90 000 euros, c’est 7 500 euros par mois qu’il faut multiplier par 210 pour avoir une idée sur le revenu en question en dinars. Imaginez donc e médecin algérien avec un salaire de 1 575 000 dinars par mois (plus de 150 millions de centimes). Rajoutons que le médecin algérien ne perçoit même pas 10 millions de centimes quand il est débutant.

Voici encore d’autres facteurs de départ des médecins algériens

En France les  établissements hospitaliers  sont dotés de tous les équipements nécessaires pour l’exercice de la médecine. Mieux  Le matériel mis à la disposition est à la pointe de la technologie et éloigne le médecin de l’erreur médicale. le contraire en Algérie. En dehors de cette raison, signalons que les médecins algériens ne sont pas vraiment à l’abris en Algérie. En effet, ces dernier  sont toujours exposés aux violences  des proches malades. Surtout quand ces derniers  ne sont pas contents de la prise en charge. Donc, les praticiens vivent toujours avec l’angoisse de l’insécurité. Au niveau des Zone reculées le problème est encore plus réel.

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