Algérie Depuis jeudi 29 juillet, passé le Président de la République et le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE). Ont entamé des concertations pour l’organisation des élections locales anticipées.
Le chef de l’Etat a décidé de mettre le cap sur cette échéance qu’il considère comme une priorité pour l’achèvement du «processus d’édification des institutions de l’Etat», et ce, dans une conjoncture inquiétante caractérisée par une situation épidémiologique alarmante.
Face à cela les partis politiques, notamment ceux de l’opposition, ont critiqué la démarche de Tebboune. De leur avis, parler des élections en ce moment relève de «l’indécence», de «l’absence d’empathie» et surtout il s’agit «d’une entorse à l’éthique politique».