<figure class="ech-sgmn__figure"> <p class="ech-sgmn__fgim d-f"><strong>Hier jeudi 6 avril 2023? l’Agence nationale de sécurité sanitaire alimentaire nationale (Anses) dans son rapport rendu public vient de dresser un constat inquiétant sur la présence de résidus de pesticide dans l'<a href="https://maghrebactu.com/coupe-de-france-fares-chaibi-realise-un-exploit/">eau</a> du robinet. </strong></p> <p class="ech-sgmn__fgim d-f">Il s'agit là d'une révélation qui pourrait coûter très cher aux distributeurs d'eau potable. En effet, un pesticide potentiellement cancérigène a été détecté dans l’eau potable. Il s'agirait d’un produit de dégradation. Et le chlorothalonil, est pointée du doigt. Précisons que le chlorothalonil est un fongicide qui a commencé à être utilisé en agriculture dans les années 1970, avant d’être interdit en 2019. Des résidus appelés des métabolites, sont encore présents dans environ un tiers de l’eau potable distribuée en<a href="https://maghrebactu.com/coupe-de-france-fares-chaibi-realise-un-exploit/"> France</a>. “La substance active, c’est-à-dire la molécule mère, est une molécule qui a été classée probablement comme cancérigène. On n’a pas d’éléments suffisants sur le produit de dégradation que l’on retrouve pour écarter ce risque. Par contre, ces travaux vont permettre d’inclure progressivement la surveillance de cette molécule dans le cadre d’un contrôle sanitaire régulier”, selon l’Anses. Le rapport indique que les zones les plus densément peuplées <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-3639022183676464" data-ad-slot="4885918069" data-adsbygoogle-status="done" data-ad-status="filled">tels que l’Île-de-France et le Grand-Ouest,</ins> sont les plus touchées.</p> </figure> <div class="ech-saad d-f"> <div class="ech-saad__cntn d-f"></div> </div>