Le limogeage de Djamel Belmadi cache tellement de vérités qu’on en découvre de nouvelles chaque jour qui passe. En voici quelques unes.
Incertitudes autour de l’affaire Djamel Belmadi
L’ancien driver de l’équipe nationale s’est contenté de garder le silence face à cette affaire. De fait, les quelques communiqués qu’il a rendus publics, ne donnaient aucun détail consistant, laissant les spéculations prendre le dessus.Du côté de la presse, l’on livre parfois des infos, qui font les affaires de Belmadi; d’autres fois, les nouvelles véhiculées vont plutôt en faveur de la FAF, dirigé par Sadi. L’une des informations ayant fait assez de tapage est celle d’Hafid Derradji,évoquant la demande d’une indemnité de 7 millions d’euros de la part de Belmadi.
Une volonté imparable de qualifier l’EN au Mondial prochain
A l’heure actuelle, difficile d’affirmer que toutes ces informations sont véridiques! Plus loin, une autre interrogation taraude l’esprit des supporters. Walid Sadi n’aurait-il pas déjà l’intention de se passer de Belmadi, même bien avant la CAN 2023? Possible. Seuls ceux qui ont accès à la table des dieux pourront confirmer ou infirmer cette hypothèse. Pourtant, l’ex coach des Fennecs avait la ferme volonté de poursuivre sa mission, quitte à conduire l’équipe nationale, à la qualification pour la Coupe du Monde prochaine.
Placé sous haute surveillance
Ce n’est pas tout! L’une des motivations derrière la volonté manifeste de Belmadi de continuer sa mission, est sa conviction, en le fait que la CAN 2025 allait être différente de celle déroulée en Côte d’ivoire. C’est à dire qu’au Maroc, les conditions climatiques favorables, rendraient la tâche aisée aux joueurs nationaux. Malheureusement, les nombreuses débâcles subies ont fait qu’il était sous haute surveillance, et que la moindre erreur lui aurait coûté un écartement. Et c’est ce qui arriva, après la désillusion à la CAN en Côte d’ivoire. L’homme n’aura finalement pas réalisé sin souhait, celui là même qui lui tenait si tant à cœur.