Depuis l’accession au pouvoir du président Abdelmadjid Tebboune en 2019, l’Algérie a manifesté une volonté d’engagement diplomatique. Cependant, récemment, la diplomatie du pays a été éclipsée par une série d’échecs qui ont attiré l’attention de la presse algérienne.
En août, l’Algérie a tenté de rejoindre les Brics, un groupe composé du Brésil, de la Russie, de l’Inde, de la Chine et de l’Afrique du Sud, mais cette tentative s’est soldée par un revers. Selon le site d’information indépendant Twala, l’Algérie n’a même pas été incluse dans la liste des candidatures à soutenir établie par la Russie et la Chine, deux pays sur lesquels le président Tebboune comptait fortement. Cette déconvenue a été une déception pour la diplomatie algérienne, qui espérait que cette adhésion aux Brics serait une consécration.
Le 3 octobre, lors d’une rencontre avec les représentants de la presse, le président a annoncé de manière catégorique qu’il abandonnait définitivement l’idée de rejoindre les Brics. Ce recul a été qualifié de « bérézina » par un site d’information d’opposition. Les espoirs d’intégration au sein de ce groupe influent semblent s’être évaporés.
Ces revers diplomatiques suscitent des interrogations quant à la capacité de « l’Algérie nouvelle« , comme l’appelle Twala, à tenir ses promesses et à réussir sur la scène internationale.
c un pluriel bizarre, le BRICS et c’est tout, alors que vient faire ici me mot « accumule »???